Ce lundi 3 juillet 2017, certains syndicats ont décidé, une fois de plus, de violer délibérément les droits des martiniquaises et des martiniquais de travailler et de circuler librement.
Le droit de grève est une liberté fondamentale. Mais ce n’est pas de cela qu’il s’agit aujourd’hui.
Au contraire. Les travailleurs sont mis dans l’impossibilité d’exercer leur libre choix de faire grève ou pas puisque d’autres choisissent à leur place en bloquant l’accès aux lieux de travail que sont les zones commerciales et le port.
Ces actes de sabotage destructeurs d’emplois sont inacceptables. Leur illégalité ne fait aucun doute.
Contact-Entreprises condamne ces actions ultra-minoritaires et en appelle aux autorités responsables pour mettre un terme rapide à ces dérives afin de faire respecter en Martinique l’exercice des libertés de travailler et de circuler.
Emmanuel de REYNAL, Président de Contact-Entreprises